Le dimanche 9 juin 2024 nous avons été heureux de retrouver les anciens et actuels membres de notre association, sophrologues, amis et sympathisants pour célébrer les 30 ans de notre association.

La journée s’est terminée par l’appel du président de MVPLS Benoît WEEGER à embarquer dans le navire de l’association !

« Attention, dernier appel pour les passagers empruntant le navire MVPLS.
Le navire appareillera dans quelques minutes. Arrivée au quai A 2024 comme « année 2024 ».

Le navire, trente ans déjà qu’il navigue, a appris sa route de grands voyageurs. Ils sont partis il y a plusieurs dizaines d’année de Colombie, ils ont fait route en Espagne, en France, à Bordeaux, en Belgique, en Suisse.
Aujourd’hui le navire MVPLS fête ses trente ans de navigation. Les passagers sont invités à s’approcher du quai pour l’embarquement. »

Alors là c’est la panique. Les passagers se pressent pour ne pas rater le départ. Ils s’allègent au maximum, laisse tomber dans un grand expire tout ce qui les encombre, et les voilà qui courent d’un pas alerte vers le navire qui arrive ! Majestueux ! Toute voile déployée.

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Dernier appel pour les passagers empruntant le navire MVPLS.
La foule est serrée sur le quai. Les passagers vont franchir l’embarcadère. Les mains se lèvent pour dire au revoir.
Ça y est, nous sommes sur le pont, près au départ. Dans une grande clameur, tout le monde dit au revoir ; dans de grands gestes, dans de grands appels, chacun dit son au revoir.

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Le bateau MVPLS quitte le quai. C’est le départ. Il est temps de présenter l’équipage :

Tout d’abord les grands timoniers, ceux qui ont construit le navire, qui le connaisse mieux que quiconque, ceux qui étaient là avant 1994, avant les trente ans !

Maintenant, les cheffes de bord, tous les sophrologues qui ont animé durant toutes ces années les croisières nombreuses du navire MVPLS, sans ménager leur peine.

Elles étaient secondées par les chefs de quart, tous ceux et celles qui participaient, et qui participent encore à la vie du bateau ; j’ai nommé les trésoriers, les secrétaires, les présidents, et tous ceux qui ont œuvré à la bonne marche du bateau.

Mais le navire n’aurait pas de sens sans les matelots, c’est à dire tous les pratiquants, certaines depuis de nombreuses années, qui connaissent toutes les manœuvres, toutes les allures du navire, et puis aussi les mousses, c’est à dire tous les sympathisants, qui nous aiment bien, et qui viennent parfois le temps d’une petite virée à bord.

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Ça y est, l’équipage est au complet. Le navire peut appareiller.
Les voiles sont hissées : la grand-voile, le foc et la trinquette. Il va falloir que le vent les remplisse, les pousse, pour que le navire avance. Le souffle du grand large qui emplit les poumons. On va le convoquer, le vent. On va souffler dans les voiles, et le bateau pourra voguer à plein flot.

J’entends le bruit du vent qui se lève, j’entends le souffle puissant de la mer, une brise solide qui nous emporte.

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Oui ! Le vent se calme … la navigation est plus douce. Soleil, ciel bleu, mer d’huile, petite brise caressante, le rêve. C’est le moment de sortir le violon, de pousser la chansonnette.